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LA CUISINE AMÉRICAINE – UN INCONTOURNABLE DE VOTRE VOYAGE

La cuisine américaine souffre d’une méconnaissance imméritée sur le plan mondial. Méconnaissance parce que pour les profanes, qui dit cuisine américaine dit friture et malbouffe. La mondialisation du fast-food américain a joué un rôle négatif dans ce que nous croyons actuellement savoir et connaitre de la gastronomie américaine. Pourtant en suivant nos conseils sur les USA, vous pourrez trouver la nourriture qui vous convient.

Avant d’aller plus loin, signalons à juste titre que les fast-foods se sont démocratisés qu’à partir du début des années 40, en 1937 pour être plus précis, avec la création du multinational McDonalds. Par contre, la cuisine américaine est plus vieille que ça. Wikipédia nous apprend que les recettes traditionnelles des Indiens d’Amérique sont, de nos jours, bien gardées et considérées comme patrimoine culturel américain.

 

LA GASTRONOMIE AMÉRICAINE

La grandeur des États-Unis est reflétée par la richesse et la diversité de sa culture. Chaque état possède sa propre culture qui le différentie des autres, et il en est de même de la cuisine américaine. Au premier abord, elle est comme l’assemblage parfait des savoir-faire culinaires des immigrants venus dans le pays depuis le 16ème siècle.

Certaines spécialités américaines, comme le très célèbre hamburger, n’ont pas été inventées par les américains. Peu importe, les Américains lui consacrent tout de même une journée nationale (le 28 mai).

Chaque état des États-Unis possède sa spécialité propre, et c’est ainsi que certains plats se sont popularisés pour devenir une spécialité américaine à part entière. Citons dans le rayon sucré : le pancake, le donut, le brownie, les muffins, etc ; et dans le rayon salé : le pain de viande au lard, le steak and egg, le Maine lobster roll (un pain hot dog avec du homard, des légumes et une bonne sauce), le chili con carne, le Mac and Cheese, sans oublier le hot dog.

 

LES CÉLÈBRES FAST-FOODS AMÉRICAINS

Après vous avoir amené à soupçonner le côté ignoré de la cuisine américaine, jetons un court regard sur les célèbres fast-foods qui se sont faits connaitre du monde entier.

Nous venons de le dire, le hamburger n’est pas américain, mais les USA ont su le parfaire et se le sont même approprié. Il existe plusieurs marques américaines de fast-foods dont la plupart se sont répandus jusqu’ici en Europe : McDonald’s, Burger King, Denny’s, Taco Bell, Pizza Hut, KFC, etc. La liste est longue.

Dans ces enseignes, on vous servira des parts généreuses de mets délicieux dont le goût diffère un tout petit peu des filiales de chez nous. Rassurez-vous, tout le monde est exposé au risque de prendre quelques kilos durant les vacances, et ce, qu’importe où vous allez. Manger un ou deux burgers aux États-Unis ne vous fera pas de mal. Par contre, ne manger que ça, même ici en France, pourrait être néfaste à votre santé. Difficile de résister au vendeur de hot-dog à Time Square cela étant ! Cela mérite vraiment le détour pour ceux qui passent par New York.

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La cuisine coréenne

La cuisine coréenne est une gastronomie méconnue mais pourtant excellente, c’est pour cela que nous voyageons pour éveiller vos papilles en vous faisant découvrir les différentes spécialités (plats, desserts, snacks) de la Corée du Sud.

Commençons le tour culinaire par quelques plats traditionnels coréens : le Gimbap, le Bibimbap, le Jajangmyeon et le barbecue coréen.

Les plats traditionnels coréens

Le Gimbap (« gim » signifiant « algue séchée » et « bap » signifiant « riz » en coréen) ressemble au maki japonais mais est pourtant typiquement coréen. Il peut être pris en en-cas ou en repas. Il se compose de divers ingrédients au choix (crabes, thon, avocat, carotte, concombre…) enroulés dans du riz blanc assaisonné à l’huile de sésame (ce qui le différencie du maki), le tout entouré d’une feuille d’algue séchée. Il est idéal pour les petites faims.

Le bibimbap est un repas typique et complet cuisiné généralement avec du bœuf ou du porc marinés, accompagné de légumes de toute sorte (souvent carottes, concombre, pousse de soja, …) arrosés d’huile de sésame et de sauce soja, et d’un œuf au plat ou simplement d’un jaune d’œuf selon les envies. Attention, ne vous avisez pas de manger ce plat intact, il faut bien mélanger le tout pour le déguster à la coréenne.

Le Jajangmyeon (qu’on peut trouver en Corée et en Chine) est un plat de nouilles avec une sauce à base de pâte de haricots, des morceaux de pommes de terre, d’oignons et de porc. On peut l’agrémenter d’ingrédients supplémentaires si on le souhaite.

En parlant de plats, il ne faut pas oublier qu’un repas coréen est toujours accompagné de « Banchan ». Les banchan sont des petits accompagnements toujours présents lors d’un repas. Le Kimchi, chou fermenté et mariné dans une sauce pimentée, est le banchan principal d’un repas. Parmi les banchans, on retrouve souvent du radis mariné, et le Namul, végétaux marinés et bouillis servis froids.

Notre dernier repas typique coréen est le barbecue. Le barbecue est une pratique très connue en Corée. Le plus connu est le bulgogi, une viande marinée puis grillée (porc, ou bœuf). Rien de mieux qu’un morceau de porc cuit au barbecue, enroulé dans une feuille de salade et d’un banchan au choix. Si vous partez en Corée, arrêtez-vous dans un restaurant pour goûter à ce plat local très apprécié par les amateurs de viande.

Les desserts coréens

Faisons maintenant un tour du côté des desserts coréens. Il faut tout d’abord rappeler que les coréens n’ont pas de dessert à proprement parler, on parlerait plutôt d’en-cas sucrés.

Le Bingsu est un dessert coréen très apprécié des petits et des grands. Ce dessert est constitué de glace pilée à base de lait et d’un topping au choix : morceaux de mangue et de cheesecake coupés en cube, green tea et chocolat, goût tiramisu… En été, c’est le dessert idéal pour contrer les grosses chaleurs.

Le Hotteok est une sorte de crêpe sucrée à la cannelle. Agrémentez-la d’une boule de glace vanille et vous aurez un dessert gourmand.

La street food: une tradition coréenne

Pour finir cette présentation de la cuisine coréenne, parler de la street food est une belle conclusion. La Corée du Sud a la culture du street food. Que vous erriez dans les quartiers de Séoul : Myeong-dong, Insa-dong, Itaewon, ou dans une autre ville, vous serez entourés de stands de nourritures s’installant vers 17h offrant de la nourriture chaude ou froide. Du eomuk (gâteau de poisson) au bungeoppang (gâteau fourré sucré en forme de poisson), il y en a pour tous les goûts. C’est une expérience à vivre absolument.

Cette présentation est maintenant terminée mais n’est qu’une introduction à certaines spécialités coréennes mais la cuisine coréenne n’a pas fini de vous surprendre. La Corée du Sud renferme encore de nombreuses pépites au niveau culinaire qu’il reste encore à découvrir. Pour les connaître, le meilleur moyen est de s’envoler pour ce magnifique pays !!

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Gastronomie : l’Amérique du Sud, un continent de saveurs

Plus besoin de traverser l’Atlantique pour goûter la cuisine des chefs argentins ou brésiliens… Les voilà qui s’installent en Belgique, de la créativité et du génie plein leurs cuisines.

Aujourd’hui, vous pouvez découvrir les spécialités sud-américaines sans quitter la Belgique. Mais cet été, vous aurez peut-être la chance de les déguster in situ, lors de vos vacances. Le continent se divise en quatre grandes zones gourmandes (voir la carte ci-dessus). Alors, pour laquelle allez-vous craquer ?

Au Venezuela, en Colombie, en Equateur, au Pérou et en Bolivie, il faut distinguer la gastronomie typique des côtes de celle de l’intérieur des terres et des montagnes, telle la cuisine andine. En bord de mer, le ceviche est roi : au Pérou et ailleurs, les poissons et les fruits de mer sont marinés et servis très frais. En Colombie, on vous servira aussi le sancocho et l’ajiaco, deux soupes à base de poulet, de maïs, de banane plantain. Au Venezuela, ce sera l’arepa, pain de maïs garni ou non.

En Guyane, au Suriname et au Guyana (ex-Guyane britannique), c’est la cuisine d’infuence créole qui domine. Au menu : acras de morue, viandes et poissons boucanés (fumés), colombo (ragoût épicé) ou encore bouillon d’awara (fruit d’un palmier) typique de la Guyane, dont la légende dit que celui qui y goûte reviendra forcément un jour au pays !

Au Brésil, du fait des infuences portugaises, indigènes et africaines, les spécialités sont encore plus variées qu’ailleurs. La feijoada (porc mijoté avec des haricots noirs) reste le plat le plus populaire au centre du pays, tandis que vers Bahia, à l’est, c’est la moqueca de camarão (crevettes sautées et mijotées dans du lait de coco), accompagnée de farofa (farine de manioc sautée), qui remporte les suffrages. Très populaire également, le vatapa, mélange velouté de pain, de lait de coco, de crevettes et de poisson, est généralement accompagné de riz ou d’acarajés, beignets à la pâte de haricot. Tout un programme !

Au Chili, en Argentine, au Paraguay et en Uruguay, on raffole de l’asado. Elevé au rang d’art, c’est la version locale de la grillade, grâce à laquelle on cuit de sublimes viandes de bœuf – certains de ces pays en sont de grands producteurs. Cette cuisson sur la braise peut durer plusieurs heures. Le plat est souvent accompagné d’une sauce chimichurri, à base d’huile d’olive, d’herbes, d’épices et de piments. Parmi les autres spécialités, on trouve les empanadas, chaussons fourrés au bœuf, au thon, au poulet, aux légumes, ou encore le dulce de leche, une confiture de lait unanimement appréciée en Amérique du Sud.

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La cuisine turque

La cuisine turque bénéficie de l’héritage ottoman et est à la charnière des saveurs asiatiques, orientales et méditerranéennes. En effet, la cuisine turque s’est enrichie des migrations des Turcs au cours des siècles, de l’Asie centrale à l’Europe et a influencé ses pays voisins (Grèce, pays du Moyen-Orient, des Balkans, Iran ou encore Arménie). On trouvera un grand nombre de plats communs avec les gastronomies libanaise, grecque ou arménienne.

Parmi les éléments que les Turcs ont apportés d’Asie centrale figurent le yaourt et le yufka (pâte feuilletée) qui constitue la base du baklava et des börek. Par sa position géographique qui permet une diversité climatique, la Turquie préserve le caractère hétérogène de sa cuisine et les traditions d’un passé lointain sont bien conservées.

La cuisine turque est riche en pâtes, viandes, poissons, légumes et desserts. Parmi les spécialités turques les plus connues, on compte les légumes farcis (dolma), les grillades (kebap), les raviolis (mantı), les feuilletés (börek), les plats de riz (pilav) et les pâtisseries (baklava, lokum, et künefe).

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Introduction à la cuisine japonaise

La nourriture japonaise était une rareté dans ce pays, loin de la côte ouest. Après la Seconde Guerre mondiale, nous avons commencé à nous rendre dans les restaurants japonais et, petit à petit, cette cuisine unique a fait son chemin dans toutes les régions de l’Amérique. Il y a seulement une poignée de plats qui ont gagné une grande popularité ici, mais la cuisine, dans des mains habiles, est magnifique; artistique, avec une fondation construite sur la philosophie japonaise de l’harmonie avec la nature. La préparation des aliments les plus frais à maturité est la marque de cette cuisine. Des sauces élaborées et des saveurs complémentaires, comme dans les cuisines européennes, cèdent la place à la fraîcheur et à la présentation.

L’objectif de la cuisine japonaise est de conserver les goûts naturels des aliments avec le moins d’interférence possible avec la nature. Les chefs japonais découpaient et préparaient les aliments bien avant que cela devienne une mode avec les chefs américains. Les arrangements japonais ont un symbolisme de sorte que les plats représentent des idées. Un chef américain peut créer des tourbillons de sauce avec une bouteille à pression, un chef japonais accompli peut découper un dragon dans un daikon ou arranger des tranches de poisson très fines pour représenter les plumes d’un oiseau ou les pétales d’une fleur.

Sushi

Le sushi est peut-être l’un des plats japonais emblématiques que nous connaissons tous. Même les supermarchés de la chaîne proposent des sushis déjà préparés dans la section réfrigérée. Beaucoup de gens pensent que le mot «sushi» fait référence au poisson cru, mais ce terme désigne en réalité tout plat à base de riz vinaigré; et, alors que le poisson cru est l’un des ingrédients traditionnels du sushi, de nombreux plats à base de sushi contiennent des fruits de mer cuits, tandis que d’autres ne contiennent aucun fruit de la mer. Alors que le poisson cru est généralement servi avec du riz à sushi, le poisson cru lui-même est appelé sashimi. Les sushis peuvent être préparés avec un certain nombre d’ingrédients, crus ou cuits, notamment des fruits de mer, des légumes, et servis avec du raifort japonais brûlant, appelé wasabi. Le wasabi lui-même est assez cher et une grande partie de ce que nous voyons est du raifort américain, qui a été coloré pour ressembler au wasabi. Il existe de nombreux noms pour les types et les préparations de sushi.

L’histoire de la cuisine japonaise

La Corée et la Chine sont les principaux acteurs historiques du développement de la cuisine japonaise avec des immigrants de ces pays, qui apportent des pratiques agricoles et des plantes. Pendant des siècles, le Japon avait une aversion culturelle pour les étrangers et cela continue encore aujourd’hui. Le résultat fut que les Japonais eurent le temps de développer leur cuisine avec une influence relativement faible de l’étranger. Vers 400 avant JC, le riz, puis le soja et le blé ont été introduits de Chine. Le delta du Yangtze en Chine est considéré comme la source de la culture du riz au Japon. Seul le riz à grain court était connu au Japon. Bien que le riz à grain long soit répandu dans le reste de l’Asie du Sud-Est, les Japonais ont développé des préjugés sur le riz qui persistent jusqu’à présent. Pour les Japonais, le riz à grain long est considéré comme inférieur et peu appétissant. Le riz est devenu la principale source de calories glucidiques, tandis que le soja et le blé sont devenus une partie intégrante de la cuisine japonaise. Le mil est un aliment de base important dans certaines régions du Japon où la récolte de riz est médiocre.

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La cuisine russe

La cuisine russe, la cuisine slave plus généralement, est à l’origine celle du paysan confronté à un climat rigoureux. Elle comprend des volailles, du gibier, des champignons, des baies de la forêt, du miel. Les céréales — seigle, blé, orge et millet — fournissent une grande variété de pains, de crêpes, de semoules, et de boissons comme le kvas, la bière et la vodka.

On trouve beaucoup de potages et ragoûts savoureux, composés de viandes, poissons et légumes de saison, ou pouvant se conserver. La proximité de la route de la soie, du Caucase, de la Perse et de l’Empire ottoman a donné un caractère oriental aux méthodes de préparation, de cuisson et d’assaisonnement.Une magnifique charlotte russe, pour le dessert !

Il existe aussi une cuisine fine et aristocratique, résultat des contacts de la Russie, aux XVIIIe et XIXe siècles, avec la grande cuisine française. Le veau Orlov, le bœuf Stroganov, la charlotte russe (шарлотка charlotka), les desserts glacés, l’usage du chocolat, des vins et des liqueurs datent de cette époque.

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